Fusil modèle 1840 et carabine de précision Delvigne-Ponchara

Bonjour, 
Octogénaire passionné de recherches, plus particulièrement intéressé sur la période coloniale de l'Algérie 1830/1862 et ancien Chasseur à Pied j'étudie plus particulièrement les combats de Sidi-Brahim (23 au 26 septembre 1845).
Il n'est nullement question de préparer un livre, ou de glorifier des combats ou des combattants, mais simplement d'essayer de comprendre le sens de certaines phrases, comme "les balles coupées", les cavaliers montants "en selle nue", les prisonniers libérés "contre rançon" ou "sous conditions". 
N'étant pas un spécialiste des armes à feu, et malgré ma consultation des ouvrages sur "La mécanisation de l'armurerie militaire (1855-1869)" ou "Les chasseurs à pied et les nouvelles armes à feu", je n'ai pas trouvé d'explications rationnelles sur la nécessité que couper les balles en quatre ou en six.
Je n'ai rien à vous apporter, si ce n'est la mise à disposition de mes documents de recherche (plus de mille pages).
En espérant que vous puissiez m'aider dans mes recherches.
Cordialement
Jean-Marie PIVETEAU

bienvenue sur le forum, tu vas très certainement trouver des informations recherchées

  Piveteau - Jean-marie   

Je n'ai rien (à-priori, mais je vais regarder dans ma doc) à apporter à ce sujet, que je vais suivre néanmoins avec attention   

Je ne pense pas pour faire "dum-dum" : vu le calibre ça n'aurait aucun intérêt, l'impact étant déjà assez vulnérant comme ça.

Plutôt pour faire "multiballes" ou "chevrotines", permettant dans la mêlée de faire plusieurs coups d'un seul, le fusil étant long à recharger et les munitions devenant rares. En replaçant la balle fractionnée dans sa cartouche en papier, et en la chargeant toute emballée du papier, ça doit le faire, même sans bourre entre poudre et projectiles...

"Monter en selle nue" ? On pourrait penser "monter à cru" (sans selle), mais peut-être avec simplement la selle, sans le bazar qu'on accroche habituellement dessus et qui doit être long à arrimer, encombrant et fatiguant plus le cheval.

J'ai lu quelque chose d'assez détaillé sur Sidi-Brahim, mais je ne sais plus où ? Peut-être un bouquin principalement consacré aux chasseurs alpins, emprunté à la bib municipale et que je n'ai pas pu retrouver ensuite...