Tout d’abord, à 40 ans je le trouve un peu jeune pour me donner des leçons. J’ai occupé au cours de ma carrière des postes qui me permettent de voir les évènements autrement que par le petit bout  de la lorgnette ou à travers un prisme déformant.
Oui cet arrêté est un non évènement ou pour reprendre son expression « un pansement sur une jambe de bois » et je m’étonne que ce même arrêté pris l'an passé  pour la Martinique n’a alors soulevé, du moins à ma connaissance, un tel lever de bouclier,. scratch Il est vrai qu’il est actuellement de bon ton de contester les décisions gouvernementales et si on ne le fait pas, on, passe pour ... affraid  Un membre a écrit «  Ni sans être contesté au motif d'un déni de droit (ce qui est devenu un "sport national", faut dire aussi). Certainement est il lui aussi dans le collimateur !

Non je ne me sens pas concerné par cet arrêté, pas parce que j’habite en métropole et pas en Guadeloupe :

- Mes catégories B : Elles ne sont pas concernées par le dit arrêté, mais je les évoque tout de même. J’ai acheté mon premier SetW Mle 17 en 1975, cela fait donc 48 ans. (Vous avez dit 40 ans?) Depuis que je possède des armes de cette catégorie, je sais que je n’en suis que le dépositaire et en serai spolié en cas d’évèment grave.

Mes catégories C : J’ai eu à l’âge de 16 ans, il y a 63 ans donc, mon premier fusil de chasse, un Robust calibre 16 ; il avait été « planqué» de 1940 à 1945 par mon père qui l’avait acheté en 1936. Il est depuis accompagné de pas mal d’autres catégories « C » achetées soit avec mon permis de chasser, soit avec la licence de tir. Ces armes ne sont pas concernées du fait l’article 2 puisque j'ai les deux documents. Il y a me direz vous l’article 3 qui entre en jeu. Oui c'est vrai, mais qu’est ce qui m’empêcherait de continuer à prendre mon permis de chasser afin de rester dans les clous ?

Mes catégories D : J’ai acheté mon premier Remington 1858 en 1969, cela fait donc 54 ans...
Du fait que ces armes sont en détention libre, elles ne sont pas fichées, donc sans réelle traçabilité. Comment les retrouver par la police ? En cas de contrôle d’un quidam se baladant avec une arme sur la voie publique ? Mais même sans cet arrêté, une personne non munie du P de C ou de la licence ne peut se balader avec une arme sans motif légitimeet même avec ces documents il n’est pas question d’aller au bistrot ou que sais je...   Au cours d'une perquisition,  suite donc  à un crime ou un délit,  Seraient qui serait en fait concerné ??? Pas l'honnête citoyen je pense... Je puis effectivement me tromper, mais jusqu'à preuve du contraire...

Comme déjà dit, mon Robust a été soustrait à la sagacité des verts de gris et leurs sbires, teutons ou français. Je n’épilogue donc ni ne donne de conseil à ce sujet, je cite seulement... En sus comme je l’ai déjà écrit, je ne pense pas qu’aucun membre des forces de l’ordre soit aussi vicelard ou inquisiteur que nos "touristes" de 40/45 et qu’aucune saisie ou persuisition n’aura lieu sans MOTIF LEGITIME.

Sans rancune.