marquage sur FRF1 a identifier

bonjour a tous
j'ai pus observer sur différent FRF1 ou frf2 ce marquage rectangulaire .
il correspond a quoi ?
c'est sans aucun doute un tampon d'arsenal , réparation ?
merci d'avance pour votre aide

C'est bien ça ... reconditionnement en arsenal, avec l'année.

Merci feder , toujours au top

plus précisément, reconstruit à Poitiers en 1988.

bern56 a écrit:plus précisément, reconstruit à Poitiers en 1988.

Merci pour cette précision. 
En gros on garde le boitier de culasse et tout le reste est remplacé ?

ce qui a besoin est remplace faut pas rever c'est toujours l'armee Francoise

En gros c'est ça. Ces armes sont réformées par les ateliers de réparations, soit parce    qu'ils n'ont pas les pièces de rechange ou bien que la réparation nécessite un outillage particulier, elles sont ensuite stockées dans une position d'attente quelque part en France.

Ces armes retirées des régiments sont remplacées nombre pour nombre par des nouvelles.(reconstruites, neuves, ou en bon état)

Lorsque le stock d'arme servant au remplacement atteint un seuil mini, la direction centrale ordonne la reconstruction d'un certain nombre d'armes (souvent plusieurs centaines) à l'atelier de marque "armement" de Poitiers (ERGM).

L'atelier de reconstruction réceptionne ces matériels déclassés. Les armes sont démontées et triées, toutes les pièces sont contrôlées et doivent correspondent à des critères dit de "reconstruction" (état général, côtes). Un canon par exemple peut   avoir beaucoup tiré mais tant que la jauge de reconstruction est correcte (diam de l'âme et feuillure) alors il sera réutilisé.

Toutes les pièces sont phosphatées , Les bois sont grattés et retraités puis les armes remontées et testées.

Ces armes sont ensuite  réceptionnées par les inspecteurs du DCTMAT  (les mêmes qui contrôlaient les régiments). Le lot était accepté ou pas.
Les matériels sont renvoyées pour une partie dans les magasins des ateliers de réparation, et le reste était stocké dans un magasin central dans l'attente d'une utilisation ultérieure.

post au mauvais endroit 

bern56 a écrit:En gros c'est ça. Ces armes sont réformées par les ateliers de réparations, soit parce    qu'ils n'ont pas les pièces de rechange ou bien que la réparation nécessite un outillage particulier, elles sont ensuite stockées dans une position d'attente quelque part en France.

Ces armes retirées des régiments sont remplacées nombre pour nombre par des nouvelles.(reconstruites, neuves, ou en bon état)

Lorsque le stock d'arme servant au remplacement atteint un seuil mini, la direction centrale ordonne la reconstruction d'un certain nombre d'armes (souvent plusieurs centaines) à l'atelier de marque "armement" de Poitiers (ERGM).

L'atelier de reconstruction réceptionne ces matériels déclassés. Les armes sont démontées et triées, toutes les pièces sont contrôlées et doivent correspondent à des critères dit de "reconstruction" (état général, côtes). Un canon par exemple peut   avoir beaucoup tiré mais tant que la jauge de reconstruction est correcte (diam de l'âme et feuillure) alors il sera réutilisé.

Toutes les pièces sont phosphatées , Les bois sont grattés et retraités puis les armes remontées et testées.

Ces armes sont ensuite  réceptionnées par les inspecteurs du DCTMAT  (les mêmes qui contrôlaient les régiments). Le lot était accepté ou pas.
Les matériels sont renvoyées pour une partie dans les magasins des ateliers de réparation, et le reste était stocké dans un magasin central dans l'attente d'une utilisation ultérieure.

merci pour ces précisions très instructives

certes souvent le matos part et reviens mais on ne connais pas le cheminement 

c'etait pareil pour la J10 qui perdait le reticule ?

Pour les optiques modernes, une partie est traitée par les ateliers optiques ou optroniques des armées et une partie par le fabricant.

lors d'un salon le mec de Scrome m'avait dit que pour le reticule qui tombait , la colle n'etait pas la bonne "erreur lors du montage"