Un bébé aurait pu naître......

Bonjour,
Via une connaissance, j'ai pu faire ces photos.  Je vous en fais profiter.  Le début d'un GP.













Amicalement, JMD.

Brut de décoffrage !   

Mais en fait très sympa  

fallait-il être bien placé pour récupérer l'embryon sur la chaine de fabrication!!

Amusant, je n'avais jamais vu çà pour un GP, FN 1900 oui, mais çà, chapeau  

yapluka le finir à la lime,,,,,

Tu l'envoies à la Khyber Pass, ils vont te le finir!

avec un bon outillage CNC c'est jouable mais pas conseillé

bernard1957 a écrit:avec un bon outillage CNC  c'est jouable mais pas conseillé

Ha la rigolade....... A l'époque ou l'on forgeait ces carcasses par estampage à chaud, il n'y avait nul machine numérique.

De mếme pour la réalisation des dites matrices d'estampage. Estampage qui necessitait quatre ou cinq matrices voir plus) différentes pour partir du "lopin" (bout d'acier au poids de la piéce) et arriver à ce qui est en photo.

ici seulement deux opérations  https://www.youtube.com/watch?v=m8oCmLYo-9Y

Toute une époque aujourd'hui disparu

c'est peut être une pièce sorti a l'époque comme souvenir de la benne a rebut donc avec un éventuel défaut  !?

rackham a écrit:

bernard1957 a écrit:avec un bon outillage CNC  c'est jouable mais pas conseillé

Ha la rigolade....... A l'époque ou l'on forgeait ces carcasses par estampage à chaud, il n'y avait nul machine numérique.

De mếme pour la réalisation des dites matrices d'estampage. Estampage qui necessitait quatre ou cinq matrices voir plus) différentes pour partir du "lopin" (bout d'acier au poids de la piéce) et arriver à ce qui est en photo.

ici seulement deux opérations  https://www.youtube.com/watch?v=m8oCmLYo-9Y

Toute une époque aujourd'hui disparu

En tous cas devaient pas regretter la pause de midi (si il y en avait). Il faut une belle dose d'abnégation pour conserver le tour de main et le respect de la sécu dans ces opérations identiques et la chaine des heures durant.

  

On comprend pourquoi nos armes sont en plastoc aujourd'hui

Et encore, c'est de l'époque contemporaine, casque anti bruit sur les oreilles.

"Tirer au pilon", ça commençait à 14 ans, pour les "bétiaux" (comme on dit "a hau rivire"). Pour ceux qui n'avait pas réussit le certificat d'étude qui ouvrait les porte de ce que l'on appelle aujourd'hui la fonction teritorriale.

Qui avait raté le concour d'entrée en CET  (oui oui, collége d'enseignement technique) qui délivrait un CAP pour les plus capables (pas un cap bonux voie de garage) et ouvrait les portes de l'industrie en débutant P1 (ouvrier professionnel) 

Un emplois d'OS pour les échec pouvant repasser l'année suivante en candidat libre...

Ce même CAP ouvrait la porte de la fonction publique, ou des écoles de sous officier.

A l'époque, un ajusteur (un tourneur, un fraiseur) savait planifier l'usinage de sa piéce ; Savait extraire une racine carré, calculer une tangente, un sinus, un cosinus ect sans calculette (ça n'existait pas).

Tout ces calculs necessaire à la réalisation de piéces présenté sur un plan paier sortant du bureau d'étude.

Les toutes premiére "machine numérique" fonctionnait avec des carte perforé, genre "piano bastringue"

rackham a écrit:On comprend pourquoi nos armes sont en plastoc aujourd'hui

Et encore, c'est de l'époque contemporaine, casque anti bruit sur les oreilles.

"Tirer au pilon", ça commençait à 14 ans, pour les "bétiaux" (comme on dit "a hau rivire"). Pour ceux qui n'avait pas réussit le certificat d'étude qui ouvrait les porte de ce que l'on appelle aujourd'hui la fonction teritorriale.

Qui avait raté le concour d'entrée en CET  (oui oui, collége d'enseignement technique) qui délivrait un CAP pour les plus capables (pas un cap bonux voie de garage) et ouvrait les portes de l'industrie en débutant P1 (ouvrier professionnel) 

Un emplois d'OS pour les échec pouvant repasser l'année suivante en candidat libre...

Ce même CAP ouvrait la porte de la fonction publique, ou des écoles de sous officier.

A l'époque, un ajusteur (un tourneur, un fraiseur) savait planifier l'usinage de sa piéce ; Savait extraire une racine carré, calculer une tangente, un sinus, un cosinus ect sans calculette (ça n'existait pas).

Tout ces calculs necessaire à la réalisation de piéces présenté sur un plan paier sortant du bureau d'étude.

Les toutes premiére "machine numérique" fonctionnait avec des carte perforé, genre "piano bastringue"

 

+1
Le progrès tu le savoir.
Sur les machines numériques , on apprenait le langage ISO et à calculer point par point.
Maintenant avec la Fabrication Assisté par Ordinateur (FAO) plus besoin de tout cela , l'ordinateur vous sort le programme et roule ma poule.
Par contre si il y a une erreur dans le programme alors là  .

Et c'est là ou l(imprimante trois D prends tout son sens en permettant un prototype a moindre cout, sans déplacement à l'atelier, monopoliser une machine. Alors qu'il y à peu il fallait la tailler dans un bloc de polystyrene.

""Ha la rigolade...""


il n’empêche que pour le finir, il est préférable d'avoir des machines-outils et la licence qui va bien...