Baïonnette à identifier SVP

Leboulanger a écrit:On dirait une 1884/98 de pionnier ...

Nous vérifions nous même les baïonnettes. En effet il y en a dont le côté non coupant forme une scie. Lorsque les gens d'en face attrapent quelqu'un qui est armé d'une baïonnette de ce genre, il est massacré impitoyablement. Dans le secteur voisin on a retrouvé de nos camarades dont le nez avait été coupé et dont les yeux avaient été crévés avec ces baïonnettes à scie. Puis on leur avait rempli de sciures la bouche et le nez et on les avait ainsi étouffés.

Quelques recrues ont encore de ces baïonnettes; nous les faisons disparaitre et leur en procurons d'autres.

A vrai dire la baïonnette a perdu de son importance. Il est maintenant de mode chez certains d'aller à l'assaut simplement avec des grenades et une pelle. La pelle bien aiguisée est une arme plus commode et beaucoup plus utile; non seulement on peut la planter sous le menton de l'adversaire, mais surtout, on peut assener avec elle des coups trés violents; spécialement si l'on frappe obliquement entre les épaules et le cou, on peut facilement trancher jusqu'à la poitrine. Souvent la baïonnette reste enfoncée dans la blessure; il faut dabord peser fortement contre le ventre de l'ennemi pour la dégager et pendant ce temps on peut facilement soi même recevoir un mauvais coup. En outre il n'est pas rare qu'elle se brise.

Pocomas a écrit:elle est a un copain, je n'ai pas pensé à prendre la longueur ni à photographier

Baccardi a écrit:Il est noter que l'utilité première des dents est de type pratique (coupe de bois, ou autres), même si son utilisation au combat fait frémir.

A ma connaissance, ceux qui étaient attrapés vivant dans les tranchées avec ce genre d'engin au bout du fusil étaient immédiatement liquidés

oxi81 a écrit:On est plus proche des 280/300, car la S14 est très-très rare à dents de scie.
350 avec le fourreau (modèle tout acier).