Diana, la légende

Il faut d'abord que "je me refasse" au niveau "phynances".....

C'est encore abordable, ça devrait facilement se trouver

Et oui, on AIME le tir et les armes, donc, on aime les DIANA qui ont façonnées notre jeunesse

byf41 a écrit:

CLOSDELIF a écrit:Cela me donne aussi l'envie de retrouver une Diana...Une 35 par exemple !

Ah ah ah... Tout cela me fait sourire et ensoleille ma journée... 
Nous sommes sur LE forum TCAR où l'on peut y croiser régulièrement les armes réglementaires les plus désirables, les plus rares, les plus convoitées... 

..Et certains d'entre nous, nous expliquent que leurs premiers et inoubliables amours sont de simples carabines à air comprimé... 
Aaaaah.... On est bien entre nous...  

Lolo

J’ai encore mon doudou et ma Diana 

J’arrive un peu après la bataille mais ma boîte à souvenirs de tir à la Diana est quasi vide   . J’ai probablement tiré avec la Diana d’un copain mais je n’en avais pas. D’ailleurs, il n’y avait pas d’armes dans la famille. Je me suis rattrapé depuis   …
   J’ai eu lors d’un arbre de Noël du CE de l’entreprise où travaillait mon père le célébrissime tourniquet des trois oiseaux avec la carabine à ressorts tirant des fléchettes à ventouse. 
     
Pour Alain : les trous sur le dessus de la carabine sont les logements de la vis anti-recul* qui se trouve dans l’anneau de montage de lunette. Ce montage par griffes serrées par une vis transversale pourrait avancer au fur et à mesure des tirs. La vis traversante se loge dans le trou et empêche ainsi tout déplacement.

La caractéristique des Diana (et d’autres armes à air de cette période) était le joint en cuir. Pour éviter qu’il ne se dessèche avec le temps et perte de compression en effet corollaire, il suffit d’introduire deux gouttes d’huile de machine à coudre (c.à.d. de vaseline) dans le mécanisme par le petit trou de sortie de l’air et laisser l’arme verticale quelques jours. L’huile va imbiber le joint et lui redonner de la souplesse et donc de l’étanchéité.

  Des clients m’ont cependant raconté les conneries faites avec leurs Diana et notamment le plomb-diesel obtenu en mettant une mini goutte de gas-oil au cul du plomb. La compression lors du départ du coup assurait (d’après eux…) l’auto-inflammation du carburant et boostait à l’envi les performances de la carabine !   
C’était dans la même veine que le Solex carburant au nitrométhane : accélération de l’obsolescence garantie 

*la lunette ne recule jamais puisqu’elle avance   mais comment appeler ce système ?

Merci Philippe pour l'explication sur les "trous" sur le dessus de culasse: un rapport avec la lunette, mais différent de celui que j'imaginais  

Baccardi a écrit:Et la Diana mod. 25d, elle doit avoir une cinquantaine d’années… la première « arme », on l’emmenait partout avec nous…



Réglable en hausse et dérive…



Elle avait coûté 220.-, un gros prix il y il y a 50 ans….

Et puis, la presque inévitable blessure  (marquée par une cicatrice claire entre le pouce et l’index)…. mon fils a la même…. cicatrice…

J'avais la même quand jétais gosse. Enfin je l'ai toujours

je rajoute que ma "DIANA" a été volé chez ma mère, où elle résidait (la carabine) ...
Elle avait encore son autocollant vintage MANUFRANCE collé lors de l'achat dans la boutique à CARCASSONNE pour mon 10ème anniversaire.

Regrets éternels..............      Soupirs.........

Si j'ai bien eu un pistolet Diana Modèle 2, je n'ai jamais possédé de carabine de la marque ... La mienne était une Weihrauch en calibre 5,5 mm.

Quand je suis parti à l'armée, en 67, mon "brisac" de frère a malmené cette pauvre carabine, qui a fini par être bricolée par mon père. Il a tenté de monter la hausse sur une autre arme, et ça n'a pas marché ...

J'ai retrouvé l'ensemble canon-boîtier dans le grenier paternel, dans un état à faire pleurer, et madeleine de Proust oblige, je dois l'avoir dans un coin de mon atelier ... mais où ?
Je crois me souvenir que mon père avait fabriqué une arbalète avec la crosse .........

A+

Un peu Hors sujet mais qui se souvient de ce concurrent de Diana?

Les miens:

WICHITA a écrit:

dgil01 a écrit:

 

Bonjour Wichita, je les ai tous acheté depuis quelques années.
Gamin, mes parents ne voulaient pas qu'il y ai d'armes à la maison. Ensuite, pour mes 18 ans, en cadeau, j'ai demandé un Remington 1858 inox (Uberti) en même temps qu'une licence de tir. C'est la que le début de la collection à commencée. Aujourd'hui, à plus de 50 ans, je ne compte plus combien j'en ai et, après avoir acheté des armes qui font du bruit, des armes anciennes, du matériel de rechargement atypique, je commence à acheter mes rêves de gosse 

Vu en broc aujourd'hui.
Mais je n'ai pas pu voir le proprio du stand hélas . 
Je ne sais pas le prix du coup .
En plus c'est un Harrington ... Harrington and richardson ? 
Sympa quand même le jouet :)

Sur la photo du bas publiée par Dgil, il y a un pistolet Walther dans sa boîte avec l’affiche du film Bons baisers de Russie (un James Bond). À gauche du titre, il y a un cylindre en bois clair que l’on trouve rarement : c’est le protège-paume avec lequel on coiffe le guidon pour pouvoir casser le canon sans se massacrer la main.

Bonjour Obaneck, effectivement, c'est un Walter LP53 complet dans sa boite avec son petit accessoire de chargement en bois.
Au dessus, c'est une de ses copie, un VZ70 avec son holster. La hausse est mieux faite sur ce VZ70. Apparemment, ce concurrent n'a jamais eu cet accessoire qui aide à casser le canon sans se faire mal à la main avec le guidon, j'ai donc fait un embout en 3D (non présent sur la photo). La conception de ces pistolets (cylindre dans la crosse) fait qu'il vibrent beaucoup au tir (ils en avaient d'ailleurs fait un argument commercial en disant qu'on avait l'impression de tirer avec une arme à feu).

Sergioo a écrit:


Vu en broc aujourd'hui.
Mais je n'ai pas pu voir le proprio du stand hélas . 
Je ne sais pas le prix du coup .
En plus c'est un Harrington ... Harrington and richardson ? 
Sympa quand même le jouet :)

C'est TJ Harrington basée en uk

Pour "vibrer", ça "vibrait"...c'est sûr !

Et pour revenir dans la famille Diana, un numéro 2, 5 et 6…


Mon oncle avait le même n°6 et tirait des musaraigne qui pointaient le bout de leur nez a travers le parquet ! Ca rajoutait des trous de vers hors normes j’étais alors trop petit pour jouer avec, mais j’avais quand même une carabine à patate avec laquelle j’étais le roi du monde ….

J’ai donc tout naturellement mis la main sur un beau n°6 me rappelant ces souvenirs d’enfance. J’apprécie sa crosse ergonomique qui chausse vraiment bien et son système de piston vers l’avant et vers l’arrière qui annule quasiment le recul. C’est du Diana de la belle époque et donc qualité de fabrication irréprochable.

Néanmoins j’ai un petit coup de coeur pour son prédécesseur, le n°5, avec son canon conique, bien plus fin et élégant ! Et sa crosse bois, moins travaillée mais plus noble. Il n’as pas le piston bi-direction et donc plus sec au tir…

Bagnoz a écrit:


C'est TJ Harrington basée en uk

Merci pour l'info 

j'ai demandé à COPILOT , l'assistant IA du navigateur Bing de Microsoft des renseignements sur le Diana 6 et voici sa réponse : Mod. 6 est un modèle qui date de 1976 et fonctionne avec un ressort. Selon le manuel, sa vitesse initiale est d’environ 125 m/s, ce qui équivaut à environ 3,9 joules avec un plomb de 0,5 g1. 
Cependant, il ne s’agit pas d’un modèle à 6 pistons bi-directionnels   

Je suis rassuré sur le nombre de pistons mais je ne sais toujours pas comment fonctionne un piston bi-direction..
Si quelqu'un peut m'éclairer par son intelligence naturelle..

Deux pistons opposés pour limiter les vibrations. J'ai une carabine ancienne browning sur ce principe
https://www.gunstar.co.uk/community/advice/airguns-reviews/the-rutten-winstar-mach-1-de-by-jonathan-young

ok , merci. J'ai compris. L'idée est d'annuler (en théorie) le recul avec deux pistons qui bougent en sens inverse . Je ne vois pas trop comment la compression du ressort vers l'avant et vers l'arrière à la fois se fait en cassant le canon mais c'est une autre discussion et je ne veux pas polluer cette discussion.

Pour le mouvement arrière, ne cherche pas de ressort   c’est une bête roue dentée asservie au mouvement avant du piston. 
On devine bien leurs emplacements dans les deux excroissances cylindriques sur le corps du pistolet.

ah oui, les deux pistons sont reliés par une crémaillère. Je n'avais pas vu l'engrenage N044. Ingénieux mais je soupçonne quelques petits problèmes : perte d'énergie à la détente, usure rapide de l'engrenage et des crémaillères,  tendance au dieseling à cause du graissage du mécanisme dans le corps du cylindre et difficulté de montage. Une belle pièce de collection en tout cas que j'aimerais bien avoir.