Ce ne sont pas de réglementaires, mais j'aimerai en savoir plus.

Deux pistolets d'officier de l'époque Napoléonienne.

Il n'y avait pas de pistolet d'officier réglementaire à cette époque. Ce sont donc des fabrications civiles, l'un par un armurier de Brioude, l'autre de St Etienne, l'un est plus richement décoré que l'autre (gravures, sculpture du bois, filets et marquage or, guidon en or), mais mis à part les chiens, ils sont quasiment identiques.

J'espère que les érudits et spécialistes ici présents, vont me dire tout ce qu'il y a à savoir sur ces armes..
Qu'ils en soient remerciés d'avance.

Bonsoir,
Comme ce sujet est parti aux oubliettes, il va remonter et il trouvera peut-être des contributeurs
Le sujet ne manque pas d'intérêt ... pour plusieurs raisons

Merci Tico

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Bonjour, au risque d’enfoncer une porte ouverte, pourquoi avoir écrit période napoléonienne pour des armes à piston ? Sauf erreur ou omission de ma part, la première arme réglementaire à piston a été le fusil de rempart modèle 1831, c’est-à-dire la Monarchie de Juillet. Certes, ces pistolets ne sont pas des réglementaires et les civils avaient un temps d’avance…
Mais au fond, ce qui compte, c’est qu’ils sont vraiment beaux !
Le canon tromblonné et la calotte de poignée semblent préfigurer (de mémoire) le pistolet d’officier modèle 1833.
Tico, que je salue au passage, va être à l’aise 

obaneck a écrit:Bonjour, au risque d’enfoncer une porte ouverte, pourquoi avoir écrit période napoléonienne pour des armes à piston ? Sauf erreur ou omission de ma part, la première arme réglementaire à piston a été le fusil de rempart modèle 1831, c’est-à-dire la Monarchie de Juillet. Certes, ces pistolets ne sont pas des réglementaires et les civils avaient un temps d’avance…
Mais au fond, ce qui compte, c’est qu’ils sont vraiment beaux !
Le canon tromblonné et la calotte de poignée semblent préfigurer (de mémoire) le pistolet d’officier modèle 1833.
Tico, que je salue au passage, va être à l’aise 

Je suis parti du principe que comme ce sont des armes à silex transformées à percussion, il étaient un peu plus vieux que ça. 
D'autre part, au cours d'une discussion, mais sans les avoir en main, un expert en armes m'a parlé d'époque Consulat.

Mais, j'ai pu probablement mal les décrire oralement, où alors mon interlocuteur m'a mal compris ou s'est fait une fausse idée.

Voilà pourquoi, j'aimerais savoir de quoi il s'agit, car comment comprendre que 2 armuriers civils différents dans 2 villes différentes aient réalisé 2 pistolets identiques, si ils ne sont pas partis du même cahier des charges ?

Il est aussi possible que un (ou les deux ?) armuriers aient marqué à leur nom des pistolets identiques fabriqués par un fournisseur.

C'est assez courant au XIXème siècle...