Mauser mod 45 22 LR

Bonjour à tous,
Je voudrais savoir à quoi sert la grenadière avant qui se visse sous le canon de la carabine, cette vis comprime le canon vers le bas, et l'empêche de flotter, est ce voulu ?
 Merci de vos réponses
JL

Voulu, oui certainement, elle sert a fixer une bretelle.
Franchement, pas trop vu la différence avec ou sans avec de bonnes munitions.
Pour la compression vers le bas, tu n'es pas obligé de la serrer a fond

Oui mais c'est quand même bizarre comme montage car cela doit agir sur la vibration du canon en fonction du serrage de la grenadière !
Pas très mécanique pour ma part !

jlouis a écrit:Oui mais c'est quand même bizarre comme montage car cela doit agir sur la vibration du canon en fonction du serrage de la grenadière !

C'est le principe, aussi expérimenté sur les BRNO 4 de mémoire, on serre plus ou moins jusqu'à trouver le meilleur groupement.
Mais je ne suis pas effectivement convaincu et CZ non plus puisqu'ils sont revenus au canon flottant depuis la 455

Bien sur que c'est voulu, les ingénieurs d'hier connaissaient parfaitement le régime vibratoire des canons.

La MAS 45 n'est pas été conçue comme une carabine de bench-rest et tient le 10 de la C50 à 50m, voire la mouche pour certaines armes avec la bonne munition. Non , le canon n'est pas "flottant"  mais il remplit parfaitement son rôle dans sa conception.

Je garde la grenadière bien serrée et vu l 'épaisseur du barreau et et la faible puissance de la .22LR, ce n'est pas la mécanique qui pose problème mais le tireur.

Pocomas a écrit:Bien sur que c'est voulu, les ingénieurs d'hier connaissaient parfaitement le régime vibratoire des canons.

La MAS 45 n'est pas été conçue comme une carabine de bench-rest et tient le 10 de la C50 à 50m, voire la mouche pour certaines armes avec la bonne munition. Non , le canon n'est pas "flottant"  mais il remplit parfaitement son rôle dans sa conception.

Je garde la grenadière bien serrée et vu l 'épaisseur du barreau et et la faible puissance de la .22LR, ce n'est pas la mécanique qui pose problème mais le tireur.

Enfin pour moi quand je vois que quand je serre la grenadière à fond et que le canon fléchis vers le bas, pour moi se n'est pas mécanique il y a une contrainte bien visible.

Il faut serrer les vis du boitier et la grenadière progressivement. Si tu serres d'abord les vis du boitier puis la grenadière, c'est pas le canon qui fléchit (j'espère!) mais la crosse.

AE864AGE a écrit:Il faut serrer les vis du boitier et la grenadière progressivement. Si tu serres d'abord les vis du boitier puis la grenadière, c'est pas le canon qui fléchit (j'espère!) mais la crosse.

Bonjour
Que ça soit le canon ou la crosse qui fléchit, on est en présence d'une contrainte et donc ce n'est pas bon ! il ne faut pas qu'il y est de tension qui puisse nuire au vibration du canon.

Une contrainte n’est pas forcément néfaste, bien au contraire, pour certaines armes comme le Mas 36, elle est nécessaire pour éviter les comportements érratique en cours de tir.
Et pour avoir un jour rendu flottant un canon de K31, je peux même affirmer que ce n’était pas l’idée du siècle 

Et à part le cas un peu particulier des Lee-Enfield, je ne connais pas beaucoup de canons militaires "flottants" .

En serrant à la main la vis de ma MAS 45 j'arrive à sentir quand c'est bien serré . Si je bourrine  serre encore plus fort, l'anneau entame le bois de la crosse bien avant le moindre fléchissement ...  

Faux problème pour moi, mais je n'ai peut-être pas le même degré d'exigence avec mon arme que d'autres.

Pocomas a écrit:Et à part le cas un peu particulier des Lee-Enfield, je ne connais pas beaucoup de canons militaires "flottants" .

En serrant à la main la vis de ma MAS 45 j'arrive à sentir quand c'est bien serré . Si je bourrine  serre encore plus fort, l'anneau entame le bois de la crosse bien avant le moindre fléchissement ...  

Faux problème pour moi, mais je n'ai peut-être pas le même degré d'exigence avec mon arme que d'autres.

Rien empêche la recherche de la précision même avec une arme militaire, tout dépend comment l'on voit la chose.