9x?

Une colle: quelqu'un sait-il ce que c'est que ça ?:


(pas la deuxième à partir de la gauche, les trois autres.)

On dirait des 9 Para sur lesquelles on aurait fixé, à la soudure à froid, des collets d'un diamètre interne de 6mm.

Ca porte au culot une mention "9mm" et des marquages type militaire:



Les amorces sont percutées. L'amorçage est Berdan.

Merci.

je dirais une cacaphonie pour un alarme modifié ....

Des cartouches-relais pour du .22 LR ? Comme pour le Tokarev Sportowy ?

Aaaaahhh oui ! Ca pourrait bien ! Et la faible pêche expliquerait qu'une fixation aussi légère soit suffisante... Mais c'est pas un peu dommage de l'avoir fait sur des étuis Berdan ?

 
Douilles de 9x19mm Para françaises (SFM) bricolées (soudure à l'étain ) pour tirer de la grenaille dans les vieilles carabines de jardin "9mm" (qui font souvent au réel 8,5/8,7mm) à percussion centrale ;ou bien d'un calibre plus petit mais toujours à grenaille pour "carabines de jardin" voire des "canne-fusils" qui ont parfois des calibres bizarres...

Au fait à quelle date les 9x19 Para françaises sont elles passées de l'amorçage Berdan à Boxer ?

berdan,non rechargées,soudure a l etain 
c est l heure 

En effet: j'en ai dézingué une et c'est bien une 9 Para dans laquelle on a emboîté, peut-être un collet de douille de carabine, ou plus probablement une petite section de tube car le laiton me paraît bien épais et le diamètre du corps est à peine plus large que celui du collet.
Le bon côté, c'est que je n'ai pas besoin de m'en débarrasser en urgence puisque j'ai des autos pour le 9x19. Reste juste à savoir si je les balance ou si j'essaie de les désamorcer (il y en a 45...)

EKAERGOS a écrit:Au fait, à quelle date les 9x19 Para françaises sont-elles passées de l'amorçage Berdan à Boxer ?

Sur un listing de mes archives, j'ai en note une étiquette de caisse de 1500 cartouches de fabrication SFM, marquage culot 3 secteurs "SF 90 9", avec mention "ETUIS RECHARGEABLES" à l'encre rouge.
Le lot est le 17 SFM 90. 
Donc, lapalissade : 1990 au moins ...

... faudra que je jette un œil sur la poignée d'étuis qui me reste, pour voir s'il n'y en a pas de plus anciens ...



Édit : j'en ai retrouvé une de 1987 (marq. 9-11-1-3 : S SF 87 9).

Ça ressemble à de la bidouille de bidouilleur, du genre de mes huileurs de machine-outil réalisés avec une demi-douille de 223 (moitié avant) en guise d'entonnoir et une demi-douille de 7.62 Kalash (moitié arrière) emboîtée dessus pour faire couvercle...

C'est pas forcément destiné à une arme, ça peut être des bouchons pour fermer un tuyau ou pour enfiler je ne sais où. Une douille en laiton c'est une bien sûr une douille, mais c'est surtout un tube en laiton, peu oxydable, aisément soudable ; ce qui offre une infinité de possibilités d'usages...

Peut-être que oui, car la moitié a le museau recouvert de papier gras.
Peut-être que non, car je les ai trouvés rangés dans une boîte MTM.
Ce ne sont pas des collets de 223 (j'ai vérifié tout-de-suite vu que j'étais en train d'en recharger un lot.)
Je pense que je vais en désassembler une poignée pour faire des cartouches de manipulation (j'aime bien les étuis militaires !) et garder les autres tels quels. Et utiliser la boîte MTM à meilleur escient !

Merci à tous pour votre participation.

L’avis de Verchère est juste, à mon sens, car pour souder sur un étui Berdan, il faut que l’amorce ait déjà été percutée (la prudence élémentaire ne fait pas de mal !). Or, une fois la soudure réalisée, plus de désamorçage hydraulique possible. Seule reste possible l’extraction par aiguille extérieure qui souvent détériore l’enclume.
L’usage de ce vistemboir reste, évidemment, totalement mystérieux !
J’ai cependant pensé à un porte-parapluie pour la Schtroumpfette, mais aussi à un élément de rein artificiel pour Hobit... toute autre suggestion étant la bienvenue