la fonte des balles en plomb
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Nico
BOUZOU
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la fonte des balles en plomb
Bonjour,
Tireur et collectionneur depuis plus de 30 ans je coule les projectiles pour me armes eà chargment bouche(minié, metford, an Ix,.. et aussi pour les cartouches métalliques poudre noire(45-70, 50-70, 43 mauser, gras, etc...).
une vidéo pour illustrer le processus :
Tireur et collectionneur depuis plus de 30 ans je coule les projectiles pour me armes eà chargment bouche(minié, metford, an Ix,.. et aussi pour les cartouches métalliques poudre noire(45-70, 50-70, 43 mauser, gras, etc...).
une vidéo pour illustrer le processus :
Re: la fonte des balles en plomb
Merci pour cette présentation
Quelle expertise
Quelle expertise
"Laudamus veteres sed nostris utimur annis "
Baccardi- Administrateur
- Nombre de messages : 17892
Age : 59
Localisation : Canton de l'Ours
Date d'inscription : 20/01/2012
Re: la fonte des balles en plomb
Excellente vidéo surtout pour moi qui n'ait jamais utilisé ces méthodes.
Le problème c'est que maintenant, on va en vouloir d'autres...
neko , sympa
Le problème c'est que maintenant, on va en vouloir d'autres...
neko , sympa
Pocomas- Administrateur
- Nombre de messages : 19473
Age : 69
Date d'inscription : 28/12/2008
Re: la fonte des balles en plomb
Merci pour cette vidéo très bien faite.
Vmax666- Pilier du forum
- Nombre de messages : 2262
Age : 65
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 08/09/2012
Re: la fonte des balles en plomb
Je connaissais la canette de bière sur le bronze, pour éviter l'oxydation (pas facile à enlever avant de couler, la pâte de verre engluant vilainement le ringard).
Par contre, jamais eu l'idée de la sciure sur le plomb ! Ça paraît autrement mieux qu'un bout de cire de temps à autres ; même en coulant à la cuillère, ça ne doit pas être trop difficile à râcler.
Alors le prochain coup j'essaie ! Merci beaucoup pour l'info.
Par contre, jamais eu l'idée de la sciure sur le plomb ! Ça paraît autrement mieux qu'un bout de cire de temps à autres ; même en coulant à la cuillère, ça ne doit pas être trop difficile à râcler.
Alors le prochain coup j'essaie ! Merci beaucoup pour l'info.
Re: la fonte des balles en plomb
beau et instructif
La vraie liberté, ce n'est pas faire ce que l'on veut, mais devenir ce que l'on est.
BOUZOU- Futur pilier
- Nombre de messages : 744
Age : 99
Localisation : nantes
Date d'inscription : 17/01/2011
Re: la fonte des balles en plomb
Super ce reportage qui devrait bien me servir.
Nico- Membre
- Nombre de messages : 56
Age : 63
Date d'inscription : 14/06/2013
Re: la fonte des balles en plomb
excellent,c'est exactement ce que je recherche,je commence justement a m'equiper pour couler et ce genre de tuto tombe a pic.
Invité- Invité
l'oxydation du plomb
Un pyromètre pour éviter les surchauffes ça aide pas mal, combiné a une petite noisette de cire pour le fluxage et on trouve très peut de résidus en surface.Une manière de travailler en gardant son four propre.
lespaulfus- Membre averti
- Nombre de messages : 190
Age : 58
Date d'inscription : 27/10/2010
Re: la fonte des balles en plomb
- personnellement j'ai rencontré le problème inverse : ne coulant pas assez "chaud" mon moule ne se dilatait pas suffisamment comme il aurait dû et mes balles étaient sous calibréeslespaulfus a écrit:Un pyromètre pour éviter les surchauffes ça aide pas mal, combiné a une petite noisette de cire pour le fluxage et on trouve très peut de résidus en surface.Une manière de travailler en gardant son four propre.
dans un sens : elles étaient un peu "tonneau" donc le pyromètre est utile également dans l'autre "sens"
- je crois qu'une fois qu'on a bien éliminé les "résidus" de surface il faut ensuite être prudent car ce qu'on risque d'éliminer ce sont les autres composants un peu moins denses que le plomb
qui ont tendance à venir près de la surface...
- cette idée de créer une "couche isolante" en surface est astucieuse mais est ce qu'on n'obtiendrait pas le même résultat en saupoudrant directement du charbon de bois ?
(Si on se lance dans les échanges sur le rechargement on va démarrer un trèèèèèèès long sujet )
Dominique- Pilier du forum
- Nombre de messages : 1073
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Date d'inscription : 01/08/2011
Re: la fonte des balles en plomb
Pas de problème, on adoreDominique a écrit:
(Si on se lance dans les échanges sur le rechargement on va démarrer un trèèèèèèès long sujet )
Pocomas- Administrateur
- Nombre de messages : 19473
Age : 69
Date d'inscription : 28/12/2008
Re: la fonte des balles en plomb
Dominique a écrit:
- cette idée de créer une "couche isolante" en surface est astucieuse mais est ce qu'on n'obtiendrait pas le même résultat en saupoudrant directement du charbon de bois ?
(Si on se lance dans les échanges sur le rechargement on va démarrer un trèèèèèèès long sujet )
Un champion de France et d'Europe MLAIC, prof de physique-chimie en retraite, utilise en effet du charbon de bois réduit en poudre, ce qui aurait pour effet de réduire l'oxyde de plomb :
2PbO + C ---> 2Pb + CO2
Jipé 87- Membre confirmé
- Nombre de messages : 347
Age : 74
Localisation : Limousin
Date d'inscription : 07/11/2013
Re: la fonte des balles en plomb
Au delà de la combinaison chimique des éléments, l'isolation "mécanique" de l'air doit déjà être efficace et je me doute que cela ne doit pas empêcher
de "touiller" la soupe de temps en temps pour la rendre bien homogène, le charbon de bois remontant à la surface par effet de densité.
(à moins que la chaleur ne le "combuste" petit à petit ? )
de "touiller" la soupe de temps en temps pour la rendre bien homogène, le charbon de bois remontant à la surface par effet de densité.
(à moins que la chaleur ne le "combuste" petit à petit ? )
Dominique- Pilier du forum
- Nombre de messages : 1073
Age : 72
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: la fonte des balles en plomb
D'accord avec toi sur l'isolation "mécanique" de l'air par la couche de charbon, de sciure au d'autre matière...
Je n'ai jamais essayé (mais j'ai l'intention de le faire...) ces méthodes, perso, je "fluxe" mon plomb en y trempant le cul d'une bougie, ça s'enflamme, et en "touillant", les diverses "merdouilles" remontent bien en surface...
En principe, la poudre de charbon, dont le point d'auto-inflammation est d'environ 225°C, devrait s'enflammer au contact du plomb fondu, et probablement la sciure de bois aussi...
Je n'ai jamais essayé (mais j'ai l'intention de le faire...) ces méthodes, perso, je "fluxe" mon plomb en y trempant le cul d'une bougie, ça s'enflamme, et en "touillant", les diverses "merdouilles" remontent bien en surface...
En principe, la poudre de charbon, dont le point d'auto-inflammation est d'environ 225°C, devrait s'enflammer au contact du plomb fondu, et probablement la sciure de bois aussi...
Jipé 87- Membre confirmé
- Nombre de messages : 347
Age : 74
Localisation : Limousin
Date d'inscription : 07/11/2013
Re: la fonte des balles en plomb
Jipé 87 a écrit: perso, je "fluxe" mon plomb en y trempant le cul d'une bougie, ça s'enflamme, et en "touillant", les diverses "merdouilles" remontent bien en surface...
C'était le second point de mon message : quand c'est propre c'est propre ce qu'on risque de prendre pour de la merdouille (cette espèce de crême irisée)
risque bien de contenir surtout étain et antimoine.
Comme tu dis : il faut essayer pour voir...
Dominique- Pilier du forum
- Nombre de messages : 1073
Age : 72
Date d'inscription : 01/08/2011
Re: la fonte des balles en plomb
Dominique a écrit:
...ce qu'on risque de prendre pour de la merdouille (cette espèce de crême irisée)
risque bien de contenir surtout étain et antimoine.
Mais, comme je ne coule (pour l'instant...) pas d'ogives pour le rechargement de cartouches métalliques, mais simplement des "billes" de calibre .451 pour le tir à la poudre noire, pour moi, moins il y a d'étain et d'antimoine, mieux c'est. Et je fond principalement des diabolos récupérés au stand 10 m air comprimé, proches du plomb pur avec très peu d'éléments d'addition.
Jipé 87- Membre confirmé
- Nombre de messages : 347
Age : 74
Localisation : Limousin
Date d'inscription : 07/11/2013
Couche de sciure
Ayant vu cette technique présentée sur TCAR il y a quelques temps, j'ai essayé à la première occasion. Ça marche ; et même très bien !
Mais il est évident que la sciure fume vite, puis distille et fume encore plus généreusement. Alors il vaut mieux enflammer la fumée, c'est plus propre. Comme je fonds généralement sur la forge, pas de problème elle est équipée pour ; mais les jours de grand froid je me réfugie à la cuisine, et là ça n'irait pas !
Ensuite, il ne reste qu'une petite épaisseur de poussière noire (carbone imbrulé), qui ne semble pas se consummer bien vite : c'est un peu comme le papier test, s'il ne noircit pas on est trop froid, mais s'il s'enflamme on est trop chaud.
Quand on touille, tout se mélange, mais remonte très vite en surface ; et j'ai l'impression que cela agglomère mieux les crasses que si on fluxe à la bougie. Par contre, la cire pendant qu'elle brûle bouffe tout l'oxygène en surface du bain, du coup rien ne s'oxyde durant le malaxage (on fait pareil sur le bronze, en jetant un bout de zinc qui crame très salement, mais efficacement). Alors que le charbon, pendant ce temps il est au fond, et ne couvre pas... Mais je crois qu'il faut choisir, c'est l'un ou l'autre.
Ensuite, pour couler au four à quenouille c'est sans doute très bien, mais à la cuillère cela ne va pas, il faut ôter le charbon avant. Je ne l'utilise donc que pour le lingotage de première fusion, où il présente l'avantage de couvrir le bain en permanence, pendant que les divers morceaux de plomb fondent péniblement (enfin, sur du gaz ; parce qu'à la forge à charbon de bois on monterait facilement 20 kg de plomb au rouge en 5 minutes. Bien pour les revenus après trempe, pas bien pour les balles ... et le bonhomme).
L'effet réducteur du charbon ? J'y crois pas trop, il faudrait déjà (en langage d'époque) que l'oxygène présente plus d'affinités pour le charbon que pour le plomb.
Mais surtout, parce-que le charbon, ça réduit des clopinettes !
L'explication scolaire, oxyde de fer + charbon >> fer + gaz carbonique, c'est simpliste.
En fait c'est oxyde de fer + oxyde de carbone.
Il faut donc que le charbon soit pré-brûlé, et incomplètement, ce qui implique déjà qu'il brûle, et non pas qu'il flotte sagement et noirement en surface.
Dans un fourneau (haut ou bas - antique ou catalan), c'est pas si facile à obtenir :
1) combustion du charbon en gaz carbonique devant la tuyère d'injection d'air.
2) ce gaz carbonique chaud monte à travers le charbon surchauffé qui est au dessus, mais qui ne reçoit pas d'air, lui, et s'en montre très jaloux ; alors il pique de l'oxygène au CO2 qui passe, mais ne peut pas tout prendre. Donc ce qui monte plus haut n'est que du CO (oxyde de carbone) ; enfin, quand le bazar est bien réglé...
3) ce CO surchauffé reste assoiffé d'oxygène, et malheur au bout de rouille qui se ferait rissoler dans le secteur : il se trouverait promptement dépouillé et réduit à l'état de vulgaire fer (au sens ancien du terme, c'est à dire fer pur, acier ou fonte selon l'humeur des esprits)...
Cette partie de ping-pong ascendante et brûlante, je doute fort qu'elle puisse se jouer à plat et quasi à froid ; ne serait-ce qu'un tout petit peu.
Enfin, même sans cela la couche de charbon est dans certains cas bien commode.
Mais il est évident que la sciure fume vite, puis distille et fume encore plus généreusement. Alors il vaut mieux enflammer la fumée, c'est plus propre. Comme je fonds généralement sur la forge, pas de problème elle est équipée pour ; mais les jours de grand froid je me réfugie à la cuisine, et là ça n'irait pas !
Ensuite, il ne reste qu'une petite épaisseur de poussière noire (carbone imbrulé), qui ne semble pas se consummer bien vite : c'est un peu comme le papier test, s'il ne noircit pas on est trop froid, mais s'il s'enflamme on est trop chaud.
Quand on touille, tout se mélange, mais remonte très vite en surface ; et j'ai l'impression que cela agglomère mieux les crasses que si on fluxe à la bougie. Par contre, la cire pendant qu'elle brûle bouffe tout l'oxygène en surface du bain, du coup rien ne s'oxyde durant le malaxage (on fait pareil sur le bronze, en jetant un bout de zinc qui crame très salement, mais efficacement). Alors que le charbon, pendant ce temps il est au fond, et ne couvre pas... Mais je crois qu'il faut choisir, c'est l'un ou l'autre.
Ensuite, pour couler au four à quenouille c'est sans doute très bien, mais à la cuillère cela ne va pas, il faut ôter le charbon avant. Je ne l'utilise donc que pour le lingotage de première fusion, où il présente l'avantage de couvrir le bain en permanence, pendant que les divers morceaux de plomb fondent péniblement (enfin, sur du gaz ; parce qu'à la forge à charbon de bois on monterait facilement 20 kg de plomb au rouge en 5 minutes. Bien pour les revenus après trempe, pas bien pour les balles ... et le bonhomme).
L'effet réducteur du charbon ? J'y crois pas trop, il faudrait déjà (en langage d'époque) que l'oxygène présente plus d'affinités pour le charbon que pour le plomb.
Mais surtout, parce-que le charbon, ça réduit des clopinettes !
L'explication scolaire, oxyde de fer + charbon >> fer + gaz carbonique, c'est simpliste.
En fait c'est oxyde de fer + oxyde de carbone.
Il faut donc que le charbon soit pré-brûlé, et incomplètement, ce qui implique déjà qu'il brûle, et non pas qu'il flotte sagement et noirement en surface.
Dans un fourneau (haut ou bas - antique ou catalan), c'est pas si facile à obtenir :
1) combustion du charbon en gaz carbonique devant la tuyère d'injection d'air.
2) ce gaz carbonique chaud monte à travers le charbon surchauffé qui est au dessus, mais qui ne reçoit pas d'air, lui, et s'en montre très jaloux ; alors il pique de l'oxygène au CO2 qui passe, mais ne peut pas tout prendre. Donc ce qui monte plus haut n'est que du CO (oxyde de carbone) ; enfin, quand le bazar est bien réglé...
3) ce CO surchauffé reste assoiffé d'oxygène, et malheur au bout de rouille qui se ferait rissoler dans le secteur : il se trouverait promptement dépouillé et réduit à l'état de vulgaire fer (au sens ancien du terme, c'est à dire fer pur, acier ou fonte selon l'humeur des esprits)...
Cette partie de ping-pong ascendante et brûlante, je doute fort qu'elle puisse se jouer à plat et quasi à froid ; ne serait-ce qu'un tout petit peu.
Enfin, même sans cela la couche de charbon est dans certains cas bien commode.
Re: la fonte des balles en plomb
Ben perso comme je fond dans un creuset fonte sur un réchaud à gaz et coule avec une louche RCBS ca a écarté d'emblée
ce système. J'ai déjà été chercher de l'eau au lac avec un seau mais la même chose pour chaque balle coulée....
Pour limiter "l'encrassement" du plomb en fusion je mets systématiquement, et quelle que soit la destination, Minié ou 45/70,
0.5% d'étain. La "coulabilité" bien est meilleure et je n'ai jamais plus l'irisation jaune/bleue du plomb trop chaud.
Ensuite le fluxage est fait en touillant avec un dé(+/- 1cm cube) de paraffine alimentaire qui doit brûler jusqu'à ce que la
surface du plomb brille comme un étui neuf. A ce moment là il ne reste plus qu'une pincée de poussière à retirer et c'est
reparti.
Je suis toujours septique sur cette histoire d'étain ou d'antimoine qui serait écrémé. Quand il n'y a pas compatibilité, j'ai
eu sur un essai avec les nouvelles masses d'équilibrage, c'est inratable: comme l'huile sur le vinaigre!!!!
Aux proportions et températures que nous utilisons ils sont comme du sirop de menthe dans de l'eau. Effectivement avant
de trouver ma méthode de fluxage, je retirais du métal. Lorsque j'ai fait refondre mes premiers "déchets", les lingots fait
avec avaient sensiblement, à l'ongle, les même aspects et dureté que mon alliage habituel
ce système. J'ai déjà été chercher de l'eau au lac avec un seau mais la même chose pour chaque balle coulée....
Pour limiter "l'encrassement" du plomb en fusion je mets systématiquement, et quelle que soit la destination, Minié ou 45/70,
0.5% d'étain. La "coulabilité" bien est meilleure et je n'ai jamais plus l'irisation jaune/bleue du plomb trop chaud.
Ensuite le fluxage est fait en touillant avec un dé(+/- 1cm cube) de paraffine alimentaire qui doit brûler jusqu'à ce que la
surface du plomb brille comme un étui neuf. A ce moment là il ne reste plus qu'une pincée de poussière à retirer et c'est
reparti.
Je suis toujours septique sur cette histoire d'étain ou d'antimoine qui serait écrémé. Quand il n'y a pas compatibilité, j'ai
eu sur un essai avec les nouvelles masses d'équilibrage, c'est inratable: comme l'huile sur le vinaigre!!!!
Aux proportions et températures que nous utilisons ils sont comme du sirop de menthe dans de l'eau. Effectivement avant
de trouver ma méthode de fluxage, je retirais du métal. Lorsque j'ai fait refondre mes premiers "déchets", les lingots fait
avec avaient sensiblement, à l'ongle, les même aspects et dureté que mon alliage habituel
cro24- Futur pilier
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Age : 66
Date d'inscription : 12/08/2011
Re: la fonte des balles en plomb
Oui, plomb + étain il me semble que c'est un mélange d'eutectiques, ça ne doit pas ou peu se décanter. C'est quand on ajoute autre chose, qu'il faut faire gaffe. Et de l'autre chose, dans toute la récup de butte de tir il y en a assurément (antimoine, bismuth, arsenic, et tout ce qu'on veut).
Perso je fonds beaucoup de conteneurs en plomb, sans avoir pu les analyser. Très dur mais tout de même très lourd, par contre ça retasse abominablement. Au dessus de 200 gr la fourchette de température correcte est très étroite, et les balles de .69 faut oublier : il y a toujours un trou, et si on ne le voit pas c'est qu'il est dedans.
Seulement ça coûte rien ! Et cet alliage donc, en plus il décante affreusement...
Ruineux en paraffine ! Et du suif, quelqu'un a essayé ? C'est ce qu'on met sur les bains d'étamage ; justement, le mouton n'a plus à bouffer, va falloir s'occuper de lui.
Si pas de réponse, le prochain coup j'essaie, le fluxage au suif de mouton.
Mais que l'étain est cher, ces jours-ci.
Faudrait envahir la Grande Bretagne, paraît qu'il y en a plein, là bas...
PS : pourquoi du plomb durci pour le .69 ?
Pour les cuirasses, pardi !
Perso je fonds beaucoup de conteneurs en plomb, sans avoir pu les analyser. Très dur mais tout de même très lourd, par contre ça retasse abominablement. Au dessus de 200 gr la fourchette de température correcte est très étroite, et les balles de .69 faut oublier : il y a toujours un trou, et si on ne le voit pas c'est qu'il est dedans.
Seulement ça coûte rien ! Et cet alliage donc, en plus il décante affreusement...
Ruineux en paraffine ! Et du suif, quelqu'un a essayé ? C'est ce qu'on met sur les bains d'étamage ; justement, le mouton n'a plus à bouffer, va falloir s'occuper de lui.
Si pas de réponse, le prochain coup j'essaie, le fluxage au suif de mouton.
Mais que l'étain est cher, ces jours-ci.
Faudrait envahir la Grande Bretagne, paraît qu'il y en a plein, là bas...
PS : pourquoi du plomb durci pour le .69 ?
Pour les cuirasses, pardi !
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