bien curieux mousqueton Berthier

allez voir sur le site "natur..."
est en vente un bien curieux mousqueton Berthier

http://www.naturabuy.fr/berthier-1892-item-3377778.html

fabrication en 1939 à la MAC donc un des tout dernier produit
mais avec un matricule de St Étienne sur le canon, le reste étant dépareillé ?,
des marquages allemands plus récents ,
un magasin à  3 cartouches ?

avez vous une explication à ces bizarreries

julio62 a écrit:allez voir sur le site "natur..."
est en vente un bien curieux mousqueton Berthier

http://www.naturabuy.fr/berthier-1892-item-3377778.html

fabrication en 1939 à la MAC donc un des tout dernier produit
mais avec un matricule de St Étienne sur le canon, le reste étant dépareillé ?,
des marquages allemands plus récents ,
un magasin à  3 cartouches ?

avez vous une explication à ces bizarreries

Re-canonnage , par contre il a garder le magasin  3 coups

Pourquoi pas ......

Oui. Recononne ok bien de mousquetons ont étés recannonnes.  Pour avoir gardé son magasin trois coups pourquoi pas, j'ai bien un 1890 modifié N qui a gardé sa baguette et son cran de demi armé...  Modifiés oui, mais pas toujours pareil pour tous. Pourquoi ?!!

tonyfree a écrit:Oui. Recononne ok bien de mousquetons ont étés recannonnes.  Pour avoir gardé son magasin trois coups pourquoi pas, j'ai bien un 1890 modifié N qui a gardé sa baguette et son cran de demi armé...  Modifiés oui, mais pas toujours pareil pour tous. Pourquoi ?!!

Manque de temps ? Manque de pièce ? absurdité administrative rendant la chose compliquée ?

La liste peut être longue

Je ne sais toujours pas si la modification N nécessitait un retour en arsenal, ou si les armuriers régimentaires avaient reçu des fraises pour l'effectuer eux-mêmes (ce qui expliquerait la variabilité des états de surface du collet modifié).
En ce cas, si un armurier voyait arriver une arme ayant échappé aux reconditionnements des années 20, il n'avait pas forcément les pièces pour pallier à cette lacune. Et en plus, la modification N concernait réellement la sécurité du tireur, alors que les autres n'avaient qu'un intérêt de confort (et d'esthétique, du genre "je ne veux voir qu'un seul quillon").

L'idée d'un fusils remonté de bric et de broc ne vous effleure pas ? 

Belle enture..

Bonjour,
je possède un mousqueton 92, ramassé après la débâcle de 40 vers le secteur d'Haguenau (et déclaré depuis) : monomatricule, boitier "continsouza m92 m-16" mais toujours en 3 coups, canon MAC 1918, modifié N et crosse en hêtre avec toutes les caractéristiques des années 20-30, donc les hybrides pour ce type de jouet sont assez communs.   

Alex

Bonsoir
Il faudrait savoir s'il y a éventuellement un logement dans la plaque de couche,avec par surcroit un ressort ?
Je  demande çà car mon père ,grand laudateur du "Mousqueton 1916", qu'il utilisa en Algérie en 1946/48
me disait que les 1916 qu'ils avaient avaient ce fameux ressort,mais il ignorait la modification "N" et c'est moi qui lui avait fait connaitre; le dit ressort étant sans doute destiné aux amorces parait il plus "dures" de la 1932 N. 
Celà aurait l'avantage de permettre de savoir si c'est bien la crosse correspondant à la modification N

Un ressort derrière la plaque de couche... Je.regarde sur les miens en rentrant de vacances. En fait je n'ai jamais enlevé la.plaque de.couche sur aucuns.

Non! Pas derrière la plaque de couche mais apparemment dans un logement Dans celle ci donc une plaque de couche percée. 
Je le rappelle je n'ai jamais vu personnellement cette disposition avec le ressort de rechange (32 N ?) mais c'est mon père qui m'en a parlé et en général il était assez observateur dans ce domaine (à 87 ans il se souvenait encore du n° matricule !). 
Il a utilisé le M16 en Algérie en 46/48 (Spahis) le sien était un Continsouza mais il m'avait aussi dit aussi qu'il restait encore quelques modèles à 3 coups.

Allobroges a écrit:L'idée d'un fusils remonté de bric et de broc ne vous effleure pas ? 

je rejoins ton point de vue , il n'y a pas deux numéros de série pareil sur celui ci .....hormis ça il est potable .

ber